Représentation de l’extrémisme, polysémie et prisme cinématographique
Lilia Vanbeveren - FAML
I.L’extrémisme, une problématique contemporaine ?
L’extrémisme est un sujet récurrent dans nos médias, nos discussions politiques et notre société en général[1]. Que ce soit en première page des journaux, au cœur de procès importants comme le verdict de la remise de peine pour les attentats de Bruxelles[2], en tant que domaine de recherche (thème central de la troisième édition de la revue scientifique Radices[3] par exemple) ou encore dans le cadre de campagnes de sensibilisation (la nouvelle campagne pour l’éducation permanente du Centre d’Action Laïque[4]), l’extrémisme en tant que concept, phénomène et débat, suscite constamment des controverses : contribuant à façonner les opinions et les représentations collectives.
Mais qu’est-ce que l’extrémisme et comment est-il représenté dans nos sociétés occidentales contemporaines ? Ces deux questions se penchent d’une part sur la définition et la délimitation du terme « extrémisme », et interrogent d’autre part les perceptions, images et idées préconçues associées à ce mot. Des perceptions qui sont, dans ce contexte-ci, étudiées principalement sous l’angle cinématographique ; un médium reconnu pour sa capacité à refléter et à questionner notre société[5], ainsi que pour ses innombrables possibilités d’inspiration et de réinvention de l’humanité, et des sociétés dans lesquelles elle évolue[6].
D’un point de vue méthodologique, cette analyse examinera dans un premier temps différentes définitions de l’extrémisme, et se concentrera par la suite sur une observation comparative de trois personnages – issues du cinéma occidental – incarnant chacun.e à leur façon une expression (d’être, de penser ou d’agir) de l’extrémisme. Les objectifs de l’article sont finalement de répondre aux deux questions initiales et de vérifier si les définitions proposées lors de la première partie correspondent aux représentations fictives, imaginaires voire potentiellement fantasmées, de l’extrémisme. Cela permettra également, en plus de présenter un point de vue socio[7] cinématographique sur ces thèmes, de déterminer dans quelle mesure les idées préconçues et stéréotypes liées à l’extrémisme influencent l’imaginaire collectif, et de quelle manière le cinéma reflète-t-il (ou pas) ces modes de pensée.
II. L’extrémisme, une complexité polysémique ?
L’extrémisme, comme mentionné précédemment, est un concept complexe qui englobe différents domaines tels que la politique[8], l’idéologie, l’éthique, la religion, la culture, les médias, l’économie et l’identité, et bien d’autres. Ses diverses transpositions soulèvent, depuis toujours, polémiques et interprétations variées selon le contexte, la culture et la perspective des analystes qui l’étudient. Malgré plusieurs tentatives de définition, sa nature multidimensionnelle le rend, du coup, encore difficile à saisir[9].
Lors de cette première partie, nous explorerons donc la polyvalence du terme « extrémisme », ainsi que les nombreux appareillements sémantiques et lexicaux qui l’étreignent – notamment avec des concepts connexes tels que le fanatisme, le fondamentalisme, le radicalisme ou encore le terrorisme ; l’intérêt étant de clarifier ces notions afin de déterminer plus précisément ce qu’est l’extrémisme, et de fournir par après des caractéristiques explicites à appliquer aux exemples cinématographiques choisis.
L’extrémisme, un terme fourre-tout ?
En dépit des divergences d’opinions, multiples sont les auteurs et autrices à relever l’ambiguïté et la porosité conceptuelles du terme « extrémisme ».
Par exemple, l’auteur Christophe BOURSEILLER a écrit – en quatrième de couverture de l’un de ses ouvrages – que « Pieuvre géante, Golem envahissant, fantasme collectif et nouvelle grande peur des bien-pensants, l’extrémisme sculpte l’actualité […] Toujours invoqué mais rarement défini, l’extrémisme serait-il la nouvelle hydre de Lerne des sciences politiques ?[10] ». Une indéfinition, mais surtout une confusion lexicale, que le philosophe Pierre-André TAGUIEFF reconnait également dans l’un de ses articles[11]. Ainsi, il y précise que la « notion d’« extrémisme » est certes une notion confuse » mais qu’« elle renvoie à des réalités qui doivent être reconnues et analysées[12] ». Une ambivalence de définition, remarque-t-il, qui résulte principalement d’une confusion systémique du mot, notamment relayée au sein de la littérature semi-savante et savante[13]. Un constat que les conférenciers Hervé LARROZE-MARRACQ et Yoan MIEYAA partagent aussi, expliquant entre autre que radicalisme et extrémisme sont généralement associés[14]. Imbrication que la chercheuse Emmanuelle HUISMAN-PERRIN relève pour sa part entre les termes radicalisme, fanatisme et extrémisme ; des dénominations souvent utilisées de manière équivalente bien que présentant chacune leurs propres « équivoques et difficultés[15] ». Enfin, le linguiste Philippe BLANCHET ajoute une dimension épistémologique à ces critiques. Il souligne que la notion de radicalisme a parfois été utilisée pour stigmatiser certaines communautés, plus particulièrement la communauté musulmane. Et que de cet amalgame – entre des pratiques culturelles ciblées et un phénomène spécifique d’utilisation et de manifestation de la terreur – est « né une perméabilité et une assimilation » entre les différents termes que sont le fondamentalisme, l’extrémisme ou encore le terrorisme[16].
Fanatisme, fondamentalisme, radicalisme et terrorisme, tous des facettes de l’extrémisme ?
La précédente partie a mis en évidence l’imprécision, même scientifique, concernant la définition de l’extrémisme et de son association (presque) systématique avec d’autres terminologies voisines. Il est de ce fait important de reprendre les terminologies citées plus haut – fanatisme, fondamentalisme, radicalisme et terrorisme – afin de les expliciter et de les nuancer par rapport à la notion d’extrémisme, qui sera définie en dernier.
Premièrement, le fanatisme se caractérise par une adhésion inconditionnelle à une cause ou à une doctrine, avec une conviction irraisonnée et une intolérance envers les autres, pouvant entraîner des actes destructeurs[17]. Forme d’extrémisme caractérisée par un engagement passionné, excessif et intransigeant envers une cause, une croyance ou une idéologie. Les fanatiques sont souvent disposés à sacrifier leurs propres intérêts, ainsi que ceux des autres, pour soutenir leur cause ou leur croyance. Le fanatisme peut être observé dans divers domaines, y compris la religion, la politique, le sport, etc.
Le fondamentalisme, quant à lui, est une forme particulière de fanatisme qui se réfère généralement à une interprétation stricte et littérale des enseignements ou des textes sacrés. Les fondamentalistes religieux, par exemple, adhèrent strictement aux principes fondamentaux de leur foi et rejettent souvent les compromis ou les interprétations modernes. Le fondamentalisme peut entraîner des attitudes rigides et parfois des actions extrêmes.se concentre principalement sur le retour aux principes fondamentaux d’une religion ou d’une idéologie politique, touchant souvent aux croyances et déclenchant des politiques éducatives conservatrices[18].
Le radicalisme, pour sa part, implique un engagement total dans les éléments essentiels de la vie, souvent associé à une dimension sacrée et à des actions sacrificielles. Il émerge d’une volonté de remettre en question ou de s’opposer radicalement à l’ordre établi, que ce soit sur le plan politique, social, religieux ou culturel. Les radicaux cherchent souvent des changements importants et sont prêts à adopter des méthodes inhabituelles ou non conventionnelles pour atteindre leurs objectifs. Le radicalisme peut être positif (comme dans le cas de réformes sociales) ou négatif (comme dans le cas du terrorisme). Il implique une processus progressif difficilement cernable, la radicalisation, car touchant d’un côté aux opinions considérées comme radicales, et de l’autre aux actes violents reliés à une idéologie. Deux aspects qui – bien que relativement proches – ne se chevauchent pas nécessairement[19].
Le terrorisme se distingue enfin par l’utilisation de la violence, des menaces ou de la coercition pour intimider ou contraindre des individus ou des gouvernements, avec le potentiel de causer des blessures graves, la mort ou la prise d’otages[20]. Il se caractérise, encore une fois, par une utilisation délibérée de la violence, de la terreur ou de l’intimidation pour atteindre des objectifs politiques, religieux, idéologiques ou sociaux. Les terroristes ciblent souvent des civils innocents dans le but de créer la peur et de faire pression sur les gouvernements ou les sociétés. Bien que le terrorisme soit souvent associé à l’extrémisme et au radicalisme, tous les extrémistes ne sont pas nécessairement des terroristes, et tous les actes terroristes ne sont pas perpétrés par des extrémistes.
Pour finir, Jacques Lesage De La Haye propose finalement une définition de l’extrémisme « comme une tendance à adopter des idées extrêmes, poussées au plus haut degré, notamment en politique et en matière de religion. Cependant, il note que l’histoire offre de nombreux exemples d’individus qualifiés à la fois d’extrémistes et de terroristes, ce qui complexifie la compréhension de ce concept[21] ». En guise de conclusion de cette phase théorique, bien que ces termes partagent des similitudes, ils ne sont pas interchangeables. Il est de ce fait essentiel de comprendre leurs distinctions pour éviter une stigmatisation souvent bien trop présente et favoriser une meilleure compréhension des comportements humains et des enjeux associés à ces notions.
III. L’extrémisme, une représentation biaisée ?
S’il est courant d’observer un large éventail lexical associé au concept d’extrémisme (ct. 1ère partie du présent article)[22] – démontrant ainsi l’omniprésence de ce sujet dans la sphère publique et médiatique – ce foisonnement documentaire s’avère cependant moins élevé lorsqu’il s’agit d’examiner les représentations de l’extrémisme dans le cinéma. Bien que les personnages de fiction ont souvent été perçus comme le reflet de préoccupations et d’enjeux de leur époque, agissant comme des miroirs des sociétés et de leurs évolutions[23], certains manquements[24] émergent quand il s’agit de trouver et de définir des personnages, ou archétypes, qui seraient « caractérisés » comme étant « extrémistes ». En effet, certaines considérations, par exemple liées aux pratiques culturelles et religieuses[25] telles que l’interdiction de personnification du sacré, peuvent parasiter la création d’images cinématographiques et limiter l’exploration scénaristique de sujets culturels « sensibles »[26]. Pourtant, malgré ces quelques entraves ou censures, il est indéniable que des représentations de ce qui est rattaché à de l’extrémisme sont largement diffusées au travers de figures fictives et de personnages de fiction. Le cinéma peut ainsi contribuer à la visibilisation et au questionnement de thématiques complexes tels que le fanatisme, la xénophobie, le racisme et l’extrémisme[27].
À titre d’exemple, il est intéressant d’examiner des personnages tels qu’Ahmed, du film Le Jeune Ahmed réalisé par Luc et Jean-Pierre Dardenne en 2019[28], V du film V pour Vendetta dirigé par James McTeigue en 2006[29], ou encore Thanos, un antagoniste majeur de l’univers Marvel créé par Jim Starlin en 1973[30]. Des exemples choisis pour leur aspect bankable mais qui semblent surtout, à première vue, très différents en termes d’origine, de position, d’idéaux et de contexte[31]. Les deux premiers sont des protagonistes ou anti-héros évoluant dans des univers qui, bien que distincts, partagent une certaine homologie avec notre réalité. Le troisième, Thanos, incarne un « méchant ultime » dans un univers métaphorique et fantastique. Trois personnages de fiction qui matérialisent chacun à leur manière une orientation possible de l’extrémisme. Alors que le jeune Ahmed illustre la manière dont les individus peuvent être manipulés pour adopter des idées extrêmes et commettre des actes violents au nom de la foi – le film explorant les mécanismes de la radicalisation chez les jeunes, mettant en lumière l’endoctrinement, la fermeture d’esprit et l’intolérance qui peuvent découler de l’extrémisme religieux – le personnage de V métaphorise quant à lui l’extrémisme politique dans un contexte dystopique. Il lutte contre un régime totalitaire oppressif mais sa quête de vengeance le pousse à utiliser des méthodes radicales, y compris la violence, pour atteindre ses objectifs. Bien qu’il soit perçu comme un héros par certains, V représente une forme d’extrémisme où les fins justifient les moyens, ce qui soulève des questions morales complexes. La fiction interroge les limites de la résistance et les conséquences de l’extrémisme politique, tout en suscitant des réflexions sur la tyrannie et la liberté individuelle. Enfin, Thanos est un antagoniste puissant de l’univers Marvel. Bien qu’il évolue dans un contexte de science-fiction, il incarne l’extrémisme idéologique à travers sa quête obsessionnelle d’acquérir les Pierres d’Infinité pour éliminer la moitié de la population de l’univers, qu’il estime être un acte de salut. Thanos représente un extrémisme de l’équilibre radical, où il est prêt à commettre des actes terribles au nom de sa vision du bien. Son personnage met en lumière les dérives de l’extrémisme idéologique, même dans des mondes imaginaires.
Illustration N° 1 : Le Jeune Ahmed, Luc et Jean-Pierre Dardenne, 2019. Illustration N° 2 : V pour Vendetta, James McTeigue, 2006. Illustration N° 3 : Avengers : Endgame, Anthony et Joe Russo, 2019.
En somme, ces trois personnages de fiction illustrent diverses interprétations de l’extrémisme. Leur présence dans le monde cinématographique offre aux spectateurs l’opportunité de réfléchir sur les mécanismes, les motivations, les conséquences et les dilemmes moraux qui peuvent en découler. Ces représentations contribuent à sensibiliser le public à ces nuances et à susciter des discussions sur ces questions complexes et pertinentes de notre société.
IV. En conclusion
En conclusion, l’extrémisme est donc bien un terme protéiforme, dont la définition, la délimitation et les embranchements sémantiques et lexicaux dépendent généralement du contexte socio-historique et culturel, ainsi que de la réception et de l’interprétation socio-situées des publics visés. Une polyvalence et une subjectivité qui se retrouvent également au cinéma. L’extrémisme peut ainsi y être représenté différemment selon les objectifs du film, le public ciblé, ou encore les attentions et la vision artistique des scénaristes et réalisateur.rice.s. Parmi ces innombrables façons et réinterprétations possibles, certains films dépeindront par exemple des portraits personnels d’’individus dont les actions sont, dans l’imaginaire populaire, apparentées à du radicalisme, du fanatisme ou de l’extrémisme (Un 22 juillet, Paul Greengrass, 2018[32]). Ces personnages peuvent ainsi être montrés en train de planifier des actes violents ou de recruter d’autres personnes dans leur poursuite de leur cause. D’autres (films) s’axeront plutôt sur la création de mouvements historiques et sur la manière dont les « groupes ou organisations extrémistes » se forment, fonctionnent et opèrent pour atteindre leurs objectifs communs (Chez nous, Lucas Belvaux, 2017[33] …). Des pratiques qui se caractérisent souvent par de la violence ou de la propagande. D’autres encore se concentreront davantage sur le processus : illustrant comment des individus ordinaires peuvent être entraînés vers l’extrémisme. Cela peut inclure des aspects psychologiques, sociaux et émotionnels du processus comme c’est le cas dans Le Jeune Ahmed (Luc et Jean-Pierre Dardenne, 2019). D’autres enfin réfléchiront aux conséquences (conflits, effets …), à la lutte ou encore aux dilemmes moraux (justice, vengeance, collaboration, dénonciation …) que peuvent engendrer les extrémismes.
Finalement , il est important de préciser que la représentation des personnages extrémistes au cinéma peut être controversée et dépend fortement de la manière dont elle est réalisée et du contexte socio-culturel dans lequel elle sera reçue. Certains films peuvent ainsi condamner et critiquer ce qui sera catalogué comme extrémisme par rapport à une norme donnée, tandis que d’autres peuvent essayer de comprendre les motivations et les facteurs qui mènent à ce phénomène. Selon leur caractéristisation, des personnages « extrémistes » peuvent ainsi être populaires et apprécié.e.s par les spectateur.rice.s pour plusieurs raisons. En effet, iels peuvent – à l’image de la personnalité humaine – être complexes et nuancé.e.s. Lorsqu’iels sont bien développé.e.s, leurs motivations peuvent être compréhensibles et faire écho à des problématiques existantes. L’adhésion et l’empathie spectatorielle n’en sont alors que renforcées. Les spectateur.rice.s loin de faire face à des personnages dichotomiques et manichéens, peuvent être interpellé.e.s, se sentir intéressé.e.s ou proches, comprendre les actions voire s’identifier à ces personnages étiquetté.e.s comme étant extrémistes et radicaux. Outre cet aspect, les personnages extrémistes servent souvent de moteur narratif à l’histoire et l’intrigue. Leurs actions, qu’elles soient jugées comme étant « bien » ou « mal », peuvent créer des tensions dramatiques qui maintiennent l’attention du public tout au long du film. Leurs (leit)motivs peuvent explorer des thèmes sociaux et politiques : leurs quêtes utilisées pour interroger des mutations sociales ou politiques et se faire mise en abyme de nos sociétés, de nos problématiques et de nos interrogations. Iels peuvent également sensibiliser, visibiliser ou même inciter le public à réfléchir à des problèmes tels que l’extrémisme, l’intolérance, l’identité, la radicalisation, etc. Et en même temps, iels peuvent également endosser un aspect exutoire ou fascinant ; représenter des facettes plus sombres de la personnalité humaine, qui existent mais qui sont souvent réprimées, mésestimées ou inconnues[34].
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- Entre autres, RICOTTA. Anthony. « Entre radicalisme et extrémisme : Le Vlaams Belang et Le Rassemblement national en période de crise sanitaire ». Dans RADICESInterdisciplinary Journal for the Study of Terrorism & Extremism. Organe de Coordination pour l’Analyse de la Menace. 2023. 81 pages. [Disponible en ligne]. Mis en ligne en février 2023. Consulté le 3 août 2023. URL : https://ocam.belgium.be/troisieme-edition-de-la-revue-scientifique-sur-le-terrorisme-et-lextremisme-en-ligne/. ↑
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- Ibid. ↑
- Ibid. ↑
- LARROZE-MARRACQ. Hervé. MIEYAA. Yoan. « Biographies de l’extrême et parcours de radicalisation : la construction du sens au risque de la dépersonnalisation ». Dans Le sujet dans la cité. Vol. 7. N° 1. 2018. Pp. 119-134. [Disponible en ligne]. Consulté le 18 juillet 2023. URL : https://www.cairn.info/revue-le-sujet-dans-la-cite-2018-1-page-119.htm. ↑
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- BLANCHET. Philippe. « « Radicalisation » ou « fanatisme » ? Réflexions critiques sur un terme pernicieux ». Dans Raison présente. Vol. 212. N° 4. 2019. Pp. 75-83. [Disponible en ligne]. Consulté le 18 juillet 2023. URL : https://www.cairn.info/revue-raison-presente-2019-4-page-75.htm. ↑
- Ibid. ↑
- Loc. Cit. BLANCHET. Philippe. ↑
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- En tout cas en français et dans le cadre de recherche actuel. ↑
- Dans cet article, ce sont « les sociétés majoritairement juives ou musulmanes dès le début du XXe siècle » qui sont étudiées. SALHAB. Sabine. « Islam, judaïsme et cinéma. Interdits religieux, questionnements identitaires ». Dans Cahiers d’études du religieux. Recherches interdisciplinaires. 2012. [Disponible en ligne]. Mis en ligne le 4 juin 2012. Consulté le 18 septembre 2023. URL : http://journals.openedition.org/cerri/1132. ↑
- SALHAB. Sabine. « Islam, judaïsme et cinéma. Interdits religieux, questionnements identitaires ». Dans Cahiers d’études du religieux. Recherches interdisciplinaires. 2012. [Disponible en ligne]. Mis en ligne le 4 juin 2012. Consulté le 18 septembre 2023. URL : http://journals.openedition.org/cerri/1132. ↑
- CONDÉ. Michel. « Le cinéma, outil d’éducation au « vivre ensemble » ? ». Dans Les Grignoux – Cinéma et Culture au cœur de la ville. 2015. 16 pages. [Disponible en ligne]. Consulté le 18 septembre 2023. URL : https://www.grignoux.be/dossiers/288/cinema_outil_educatif. ↑
- LECLERC. Alexandre. « Le jeune Ahmed ». Dans Ciné-Histoire. [Disponible en ligne]. Publié le 8 juillet 2020. Consulté le 18 septembre 2023. URL : https://www.cine-histoire.ca/film/le-jeune-ahmed/. ↑
- SOTINEL. Thomas. « V pour Vendetta : Londres sauvée par le terrorisme ». Dans Le Monde. [Disponible en ligne]. Publié le 18 avril 2006. Modifié le 25 avril 2006. Consulté le 18 septembre 2023. URL : https://www.lemonde.fr/cinema/article/2006/04/18/v-pour-vendetta-londres-sauvee-par-le-terrorisme_762878_3476.html. ↑
- « Thanos (Marvel Comics) ». Dans Wikipédia. [Disponible en ligne]. Mis à jour le 8 septembre 2023. Consulté le 18 septembre 2023. URL : https://fr.wikipedia.org/wiki/Thanos_(Marvel_Comics). ↑
- Exemples choisis arbitrairement qui n’ont pas pour but de refléter exactement l’état des lieux actuels des représentations de l’extrémisme dans la fiction ni de recenser les personnages considérés comme extrémistes dans le domaine cinématographique ; sujet(s) et objectif(s) intéressants qui devraient, pour être complets, faire l’objet d’une étude plus approfondie. ↑
- « Un 22 juillet ». Dans Wikipédia. [Disponible en ligne]. Modifié le 28 mai 2023. Consulté le 25 septembre 2023. URL : https://fr.wikipedia.org/wiki/Un_22_juillet. ↑
- « Chez nous ». Dans Wikipédia. [Disponible en ligne]. Modifié le 25 juillet 2023. Consulté le 25 septembre 2023. URL : https://fr.wikipedia.org/wiki/Un_22_juillet. ↑
- COTTE. Olivier. « Chapitre 8. Les personnages »,. Dans COTTE. Olivier. Adapter un livre pour le cinéma et la télévision. De l’œuvre originale au scénario : roman, théâtre, biographie, bande dessinée. Armand Colin. 2020. Pp. 139-169. [Disponible en ligne]. Consulté le 21 septembre 2023. URL : https://www.cairn.info/adapter-un-livre-pour-le-cinema-et-la-television–9782200627256-page-139.htm. ↑
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