Jouir sans entraves quand non c’est non : ce que MeToo fait aux désirs et aux fantasmes

Mina Lopez Martin - ULB

Le Festival International de la Bande-dessinée, qui se tient tout les an à Angoulême depuis 1974, annonçait en décembre l’annulation de l’exposition dédiée à Bastien Vivès, bédéiste français. Celui-ci est accusé de promouvoir la culture du viol et la pédopornographie en mettant notamment en scène la sexualité infantile et l’inceste. Dans ses planches, Bastien Vivès représente notamment les rapports non-consentis d’une femme au seins énormes[1], d’un enfant au pénis démesuré[2], ou entre membres d’une même famille[3]. Dans un communiqué publié le 14 décembre[4], le Festival déclarait que « des menaces physiques ont été proférée vis-à-vis de Bastien Vivès », ce qui, mettant en danger l’artiste et ses lecteurs, obligeait donc le festival à déprogrammer sa venue. Ces événements sont alors venus rallumer la flemme d’un débat interrogeant la limite entre le disible et l’occultable, l’art et la violence.

Via un post instagram[5] dessiné par ses soins, Bastien Vivès mettait alors en garde contre une « théorie du complot » menée contre lui par des internautes qui tenteraient « de démontrer par tous les moyens » qu’il serait « pédophile, en isolant des citations dans des interviews » et « en faisant des relectures malhonnêtes » de ses bandes dessinées. « On est plutôt dans le fantasme que dans la réalité »[6], nous explique Bastien Vivès au sujet de ses dessins, et puis « représenter quelque chose n’est pas en faire l’apologie »[7], ajoute-t-il dans un entretien avec Le Monde. C’est justement ce que pointe du doigt le mouvement MeTooBD, qui naît sous la forme d’un compte instagram. Celui-ci est à l’origine d’une tribune publiée sur Mediapart[8], invitant le Festival International de la Bande dessinée a adopté une charte « afin que les futures sélections et programmations du festival soient réalisées dans le respect du droit des personnes minorisées ainsi que dans l’égalité de leurs représentations ». Ce mouvement ne fait évidemment pas l’unanimité dans le milieu artistique, certains mettant en garde contre ce dangereux « imagicide »[9]. Les signataires de la tribune seraient alors des meurtriers de l’expression, puritains consciencieux d’une morale étouffant les fantasmes, les rires et la liberté.

Depuis cinq ans dejà, le mouvement MeToo semble se cristalliser autour de la légitimité et de la violence des paroles et des actes. Clivant le féminisme par ce qui semble à premier abord être un « fossé générationnel »[10], et rassemblant d’un côté les conservateurs d’un système de drague « traditionnel », et de l’autre les partisans de nouvelles limites, d’une transformation des rapports de séduction. Alors, comment s’entrelacent et se transforment la question du désir et de son expression légitime, au gré des différentes vagues féministes ? L’expression humoristique, artistique et érotique du désir peut-elle s’extraire de la réalité qui la fait exister, comme nous l’affirme Bastien Vivès ? La sensualité et la sexualité existent-elles hors cadre, dans l’unique intimité et subjectivité des individus ?

Nous tenterons ici de saisir les représentations des fantasmes, du désir et de la sexualité à travers le temps, en ce qu’elles ont forgés comme manières d’être au monde et de revendiquer. Nous interrogerons dans un premier temps les transformations que celles-ci subissent depuis la « révolution » et la libération des corps au printemps 1968. Ensuite, nous nous intéresserons au mouvement MeToo en ce qu’il a façonné – et potentiellement clivé – comme désirs et comme revendications.

(Dés)ordre de genre et « révolution » sexuelle

 

Cortège du Mouvement de Libération des Femmes, Carole Roussopoulos ©, 26 août 1970, Paris

Il y a plus de cinquante ans, la jeunesse étudiante belge oeuvrait entre-autres pour la libération des corps. Celle-ci souhaitait bâtir un avenir au sein duquel le destin des femmes ne se résumerait pas à celui d’épouse et de mère, et où celles-ci pourraient disposer de la procréation et de la jouissance, leur volonté en étant seule maîtresse. Des assemblées réunissaient artistes et étudiants lors d’occupations d’amphitéâtres à l’Université Libre de Bruxelles, dont l’un des aboutissement a notamment été l’ouverture d’un planning familial sur le campus[11], l’autorisation à circuler entre les chambres de filles et de garçons[12], et plus tard la dépenalisation de l’avortement[13]. Mai 68 a effectivement été un moment clé de la lutte pour le droit des femmes, errigeant l’intimité et la sexualité en tant que lieux légitimes aux luttes et revendications politiques. Seulement, aucun combat n’existe en dehors de la réalité qui en est la source. Et si les libertés morales existent en partie parce que les individus les performent et les mettent quotidiennement en actes, les possibilités d’actions sont tout de même forgées par le système au sein duquel celles-ci s’érigent. En effet, si ce mouvement politique a bel et bien permi aux femmes une plus grande indépendance au sein de leur trajectoire, celle-ci demeure toujours inscrite dans un « ordre de genre »[14] précis, qui accorde des rôles et des places hiérarchiquement situées à chacun.es.

Ce que l’on appelle la « seconde vague du féminisme » a bel et bien ouvert la porte à une sexualité protégée et à une maternité plus probablement désirée, et nous a également invité à porter une attention croissante aux manières dont ces avancées ont été (ré)appropriées, mises en scènes dans l’intimité du quotidien. Il s’agirait alors moins d’une « révolution sexuelle » qui aurait profondément modifié notre rapport au sexe et aux corps féminins, et plus d’un passage à une « sexualité reposant sur des disciplines internes. Il ne s’agirait pas d’une libération, mais d’une intériorisation et d’un approfondissement des exigences sociales »[15]. La sexualité n’aurait donc pas soudainement été libérée de toutes injonctions, mais aurait plutôt été remodelée, sans pour autant boulverser la structure subordonnante qui la régit.

Libération des corps ou injonction au désir ?

C’est par exemple ce que l’on comprend du récit de vie rapporté par Maryvonne, qui était étudiante et militante lors du printemps 1968 : « D’un seul coup, il n’y avait plus de raisons de leur dire non. Sinon on était vraiment pas cool, on ne voulait pas libérer nos désirs, des conneries comme ça »[16]. Un peu plus tôt dans l’entretien, celle-ci faisait part de la réticence éprouvé par ses anciens partenaires a l’idée de porter un préservatif, la pilule leur permettant désormais de se dédouaner pleinement de la charge mentale contraceptive. Si l’arrivée de la contraception hormonale, puis celle de l’avortement, ont permis aux femmes un meilleur contrôle sur leur sexualité, les éloignant des mœurs imposant leur vertu, ces droits n’ont donc pas pour autant transformé les codes et les rôles pré-existant[17]. Les hommes demeurent socialisées à être des agents désirants, et les femmes des objets de désir. Ceux-ci construisent leur sexualité dans l’injonction à performer une libido insatiable et virile[18], et celles-ci font très jeune l’apprentissage d’une « obligation au coït »[19], leur imposant d’être désirable et disponible, à défaut de désirer en retour.

Si la sexualité a donc bel et bien été modifiée par les avancées enclenchées par les militantes du printemps 1968, celles-ci n’ont donc pas pour autant amené à une destructuration totale des rôles de genre. Permettre aux femmes une plus grande liberté sexuelle, est venu renforcer leur charge mentale contraceptive et sexuelle, ainsi que leur caractère aliénable et objectifiant. Celles-ci naviguent donc dans un monde aux injonctions contradictoires, leur offrant la possibilité d’explorer une sexualité en dehors de la conjugalité, tant qu’elle demeure contrôlée par les désirs et fantasmes masculins. Si les femmes semblent effectivement encouragées à découvrir leur sexualité, celle-ci est toujours régit par un « ordre de genre » qui impose des « scripts sexuels »[20], et qui pose le désir masculin au dessus de l’expression des fantasmes féminins. Le désir des femmes et leur consentement – sujets qui gagne pourtant de l’importance dans les sphères académiques et médiatiques – restent aujourd’hui des sujets tabous ou tout du moins inconfortables, et ce même dans le cadre intime d’une discussion ou d’un rapport avec son partenaire[21].

MeToo : levé de rideaux sur les tabous

Le mouvement MeToo, qui naît en 2006 et se globalise en 2017, est alors venu saisir l’enveloppe de tabous qui assurait jusqu’ici la perennité des violences sexistes. Ce mouvement s’est étendu dans le monde via les réseaux sociaux, et ne cesse de se métamorphoser et de croître en pointant tour à tour du doigt différentes sphères de la société. Balance ton porc, ton père, ton bar, ton youtubeur, ton réalisateur, ton photographe, ton professeur ou ton uber. Avec ces différentes variantes du mouvement MeToo, le viol, l’inceste et la pédophilie sont venus se reloger au cœur des problématiques inhérentes à la socialisation genrée, levant le voile sur les dynamiques d’opressions et de pouvoirs à l’œuvre dans l’intimité et dans l’expression du désir. En s’exprimant sur les violences qu’elles subissaient aux quotidiens, les femmes ayant participé d’une manière ou d’une autre au mouvement MeToo, sont venues, dans l’héritage de leurs prédécesseuses, souligner la dimension politique de la sexualité et des fantasmes. La lutte entamée au printemps 1968 semble à première vue se poursuivre aujourd’hui à travers le mouvement MeToo, pour qui l’intime est également politique, et qui place les questions de la sexualité et du consentement en son sein. Mais si en 1968, les militantes réclamaient le droit à disposer de leur corps, de leur statut et de leur grossesse, le mouvement MeToo, lui, s’attaque à l’injonction à dire oui, qui semblerait donc s’être intensifée depuis la « libération » des corps féminins et la légalisation des méthodes contraceptives.

Manifestation contre les violences faites aux femmes, Mina Lopez Martin ©, 27 novembre 2022, Bruxelles

La liberté de dire non, et celle d’importuner

Deux mois et demi après l’essor du mouvement MeToo, cent femmes, nombreuses d’entres elles ayant participé aux printemps 1968, signent une tribune qu’elles consacrent à « la liberté d’importuner »[22]. Tout en reconnaissant la nécessaire prise de parole au sujet des abus de pouvoir et des violences sexuelles, les signataires alertent face à ce qui leur apparaît comme une injonction à « taire ce qui fâche »[23]. Pour celles-ci, les « délations et mises en accusations »[24] causées par la vague MeToo risquent de mettre en danger les interactions entre les hommes et les femmes, en figeant celles-ci dans un « statut d’éternelles victimes, de pauvres petites choses sous l’emprise de phallocrates démons »[25]. En somme, cette tribune invite à ne pas recevoir comme une violence tous les actes posés par un homme, et ce même lorsqu’il s’agit d’un « baisé volé »[26], d’une caresse inattendue, ou d’une discussion « intime »[27] lors d’un rendez-vous professionnel. Considérer tous ces actes comme des étant menaces et des violences reviendrait alors à figer les hommes et les femmes dans les stéréotypes liés à leur genre respectifs, catégories contre lesquelles luttaient d’ailleurs les militant.es des années soixantes et septantes. Certains aspects du mouvement MeToo viennent alors souligner le clivage qui se dessine entre la lutte féministe menée au siècle dernier, et les débats qui animent la mouvance actuelle. Les frontières entre le désir et le rejet, entre le oui et le non, les jeux de séductions et les manières de les appréhender semblent s’être transformées avec le temps.

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Manifestation contre les violences faites aux femmes, Mina Lopez Martin ©, 27 novembre 2022, Bruxelles

Jouir sans entraves quand non c’est non

En 1968, les femmes bravaient les limites et les interdits qui entravaient leurs chemins, souhaitant jouir de leur trajectoire et de leur sexualité hors des murs et des rôles imposés par la conjugalité et la maternité. À ces libérations, et surtout aux manières dont celles-ci ont été appropriées et mises en actes par les hommes et leurs désirs, les partisanes du mouvement MeToo ajoutent le cadre du consentement qui semblait jusqu’alors manquer. La sociologue américaine Diana E. H. Russel écrivait en 1975 : « si la libération sexuelle ne s’accompagne pas d’une libération des rôles sexuels traditionnels, il peut s’ensuivre une oppression des femmes encore plus grande qu’auparavant »[28].

Ces rôles sexuels traditionnels, ces fantasmes et ces désirs qui figent les femmes dans un statut d’être sans consentement leur étant propre, et les hommes comme des êtres virils aux insatiables libidos, sont alors devenus la cible de la mouvance féministe actuelle. Nous avons mentionné plus haut l’existence potentielle d’un clivage entre les revendications portées en 1968 et celles qui animent la mouvance actuelle. Mais peut-être s’agit-il moins d’un clivage que d’un continuum ? Au lieu d’assister à une rupture entre les féminismes, peut être sommes nous en train d’observer une même lutte, qui, au gré des vagues et des slogans, se libère doucement des contraintes imposées par les réappropriations de ses revendications. « Jouir sans entraves » et représenter les fantasmes, certes, mais alors sans oublier de considérer les corps féminins comme étant des corps agentifs et désirants, sans que ce désir soit forcément sexuel, sans les réifier, et sans discréditer leur volonté et leur capacité à poser des limites. Sans oublier non plus de considérer l’ordre de genre hiérchisant au sein duquel ces relations s’inscrivent, plaçant l’homme au sommet de la pyramide du désir et de l’agentivité.

L’art, la liberté et la violence

En 1975, Daniel Cohn-Bendit, qui menait la foule en 1968, décrit dans un essai ses activités d’éducateur dans un jardin d’enfants. Il y rapporte alors qu’il lui arrive « que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. (…) Mais, s’ils insistaient, je les caressais quand même »[29]. En 1990, Gabriel Matzneff[30] raconte à la télévision les relations qu’il entretient avec des mineures, en appuyant sur leur caractère doucement et naïvement érotique, et sur les vertues artistiques et créatrices de ce type de rapport, au sujet desquels il publie d’ailleurs plusieurs romans. En 2020, Vanessa Springora publie Le consentement, ouvrage auto-biographique au sein duquel elle relate les viols qu’elle a subis lorsqu’elle avait 13 ans, perpétrés par un certain « G. », nom qu’elle emploie pour se référer à Gabriel Matzneff. Trois ans plus tard, Bastien Vivès se voit interdire la venue au Festival de la Bande dessinée par suite d’une pétition[31] réclamant sa déprogrammation et réunissant plus de 100 000 signataires. Bien sûr, Gabriel Matzneff et Daniel Cohn-Bendit rapportant les ébats et les abus dont ils sont responsables se différencient largement de Bastien Vivès, qui n’est pas accusé d’être pédophile mais « simplement » d’en faire l’apologie. Ceux-ci se rejoignent pourtant par le rapport valorisant, érotisant et déconnecté qu’ils entretiennent aux abus sexuels. En pensant représenter des fantasmes érotiques issus de leur imagination, ou des réalités insouciantes, douces et désirées, ceux-ci s’amusent en fait à dépeindre les rôles de genre et l’ordre associé, qui accordent aux hommes tous les droits sur tous les corps, et qui ont des conséquences bien réelles dans les vies des individus.

L’art, l’humour, l’érotisme n’existent pas hors de tout cadre et de toutes « normes ». Si les œuvres émanent de la subjectivité des artistes, nous ne pouvons pas pour autant considérer cette singularité artistique comme étant libérée du poids de ce qui l’entoure. Au contraire, celle-ci est dictée par un ordre de genre qui accorde des rôles particuliers et hiérarchisés à chacun.es, forgeant les désirs et leur pouvoir subordonnant. En partant du cas de Bastien Vivès, nous avons pu explorer les manières dont les fantasmes et les désirs sont socialement construits, et répondent à une réalité violente perpétuant des schèmas de domination.

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Manifestation contre les violences faites aux femmes, Mina Lopez Martin ©, 27 novembre 2022, Bruxelles

Et si en Mai 68 il semblait interdit d’interdire, la mouvance féministe actuelle impose la révision de cet adage. En soulignant les violences portées par certaines voix, en soulevant le lourd rideau de tabous qui enfermait jusqu’ici les victimes dans le silence, le mouvement MeToo renverse les dynamiques de pouvoirs initiales, et tente de transformer l’ordre et la marginalité. Seraient « anormaux » et écartés les hommes qui « draguent » lourdement, touchent sans consentement, et fantasment la violence des interdits. Une nouvelle norme serait alors mise en avant, celle de femmes jouissant sans entraves, hormis celles dessinées par les limites de leur consentement.

  1. Vivès, Bastien, Les melons de la colère, Éditions Requins Marteaux, 2011
  2. Vivès, Bastien, Petit paul, Éditions Glénat, 2018
  3. Vivès, Bastien, La décharge mentale, Éditions Requins Marteaux, 2022
  4. Compte twitter du festival d’angoulême (images), communiqué de presse, 14 décembre 2022, https://twitter.com/bdangouleme/status/1602990319628435457?lang=fr
  5. Compte instagram de Bastien Vivès, (images), 8 décembre 2022 : https://www.instagram.com/p/Cl5tIhINW7v/?hl=fr
  6. Christophe Levent, La dernière BD de Vivès taxée de pédopornographie, 25 septembre 2018, Le Parisien.
  7. Mourier, Thomas, Images sensibles : pédocriminalité, entre condamnation, morale et censure, 28 août 2020, Bubble BD.
  8. Tribune, Les raisons de la colère, 17 décembre 2022, Médiapart.
  9. Yves Frémion, Tribune Libre. Dans la foulée de l’Affaire Vivès, 500 dessinateur.ices exigent l’interdiction des BD Walt Disney, 13 janvier 2023, ActuaBD.
  10. Bot, Olivier, Féminisme, un fossé générationnel, 18 janvier 2018, Tribune de Genève.
  11. Longcheval, Andrée, et Louise-Marie Libert-Vandenhove. « Mai 68… espoirs de femmes, mais 2018… un combat inachevé », Cahiers Bruxellois – Brusselse Cahiers, vol. , no. 1, 2018, pp. 299-311.
  12. Ibid
  13. Dépénalisation de l’avortement : 1990
  14. Clair, Isabelle. « Pourquoi penser la sexualité pour penser le genre en sociologie ? Retour sur quarante ans de réticences », Cahiers du Genre, vol. 54, no. 1, 2013, pp. 93-120.
  15. Simon, Patrick. « Révolution sexuelle ou individualisation de la sexualité ? Entretien avec Michel Bozon », Mouvements, vol. no20, no. 2, 2002, pp. 15-22.
  16. Ruault, Lucile. « Libération sexuelle ou « pression à soulager ces messieurs » ? Points de vue de femmes dans les années 68 en France », Ethnologie française, vol. 49, no. 2, 2019, pp. 373-389.
  17. Marcovich Malka, L’Autre héritage de 68 : La face cachée de la révolution sexuelle, Albin Michel, 2018, 216 p.
  18. Santelli, Emmanuelle, « De la jeunesse sexuelle à la sexualité conjugale, des femmes en retrait. L’expérience des jeunes couples », Genre, sexualité et société, 2018.
  19. CARBAJAL Myrian, COLOMBO Annamaria, TADORIAN Marc, «
  20. Ibid
  21. Santelli, Emmanuelle, « De la jeunesse sexuelle à la sexualité conjugale, des femmes en retrait. L’expérience des jeunes couples », Genre, sexualité et société, 2018.
  22. Tribune : “Nous défendons une liberté d’importuner, indispensable à la liberté sexuelle », 9 janvier 2018, Le Monde.
  23. Ibid
  24. ibid
  25. ibid
  26. ibid
  27. ibid
  28. Diana E. H. Russel, The politics of rape. The victim’s perspective, iUniverse, 1975.
  29. Paul Quinio, L’affaire Cohn-Bendit ou le procès de Mai 68, 23 février 2001, Libération.
  30. 1990 : Gabriel Matzneff face à Denise Bombardier dans « Apostrophes » – Archives INA, Ina Culture, 26 décembre 2019.
  31. Pétition : Pédocriminalité : Pour la déprogrammation de l’expo de Bastien Vivès au festival de la BD d’Angoulême, https://www.mesopinions.com/petition/enfants/pedocriminalite-deprogrammation-expo-bastien-vives-festival/193829
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